Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Chroniques désespérantes
7 janvier 2013

Ce qu'il est bon de me réveiller ce matin, si

Ce qu'il est bon de me réveiller ce matin, si tôt, pour une bonne raison. Enfin finis, ces horriblement longues et désespérantes vacances et fêtes débiles... Aujourd'hui, je sais pourquoi je me lève. Je vais enfin le revoir... Il a été ma dernière pensée au couché et ma première excitation au réveil. Il est mon obsession... Un jour de plus et j'aurai perdu les pédales... J'ai les mains qui tremblent, le coeur qui fait bondir ma poitrine, les yeux ensevelis par le sommeil, les paupières collées mais le cerveau pulsé à son maximum. J'ai l'impression que tout va revenir à sa place. Je me sens euphorique et le seul moyen de me contenir à peu près, est d'écrire. Je meurs d'impatience. Comment le temps peut-il parfois paraître si long et si court à la fois ? Les trois heures qu'il me reste à attendre pour le voir franchir le portail, les mains dans les poches, l'air endormi et rêveur, vêtu de son éternel veste et de son jeans si parfaitement moulant... me paraissent durer des jours. Et pourtant, fondamentalement trois heures ce n'est rien dans une vie. C'est un grain de poussière de nos vies. Un infime moment de nos existences...

Juste envie de le voir...

Juste envie d'accélerer le temps... 

Juste envie d'avoir,

Le courage de lui dire que je l'aime tant.

A tes yeux qui ne voient rien.

Ne pense pas connaître ce que je suis,

Tu ne reconnais même pas des yeux qui disent 'je t'aime',

Ou bien tu ne les remarques jamais.

Il serait pourtant si simple que tu cesses de m'ignorer.

Ne le repétes pas : 'mon coeur t'appartient', c'est un secret,

Et je ne sais plus comment le garder au fond de mon coeur.

A dire vrai, mon monde tourne autour du tien sans jamais se mêler,

Ne tient qu'à toi de les unir.

Tu n'as que trois mots à me chuchoter à l'oreille,

Ou à m'embrasser tendrement,

Infiniment, désespérément...

Nous pourrions courir main dans la main, à la recherche du bonheur,

Et le cueillir, dans la fusion de notre amour.

A toi de voir, si tu le veux...Si tu veux de moi...

Ne vois-tu pas combien je t'aime ?

Tu n'a pas idée de ce que tu râtes,

Ou de ce que tu arrives à me faire ressentir contre ta volonté.

Idiot, je t'aime.

Ne t'arrêtes pas à nos différences,

Et montre moi la vie.

As-tu déjà envisager que je ne puisse vivre sans toi ?

Ne peux-tu pas au moins me sourire ?

Tes yeux, tes lèvres, ta bouche, tes cheveux... Non. Rien que tes lèvres me suffisent.

Où étais-tu passé ? Je t'attends depuis si longtemps.

Impatient, impossible et irréelle, je définissais notre amour.

Ne me donne pas raison,

Et contredis-moi, pour une fois, mon ange.

Abandonne toute retenue avec moi,

Ne te sens pas obliger de t'arrêter,

Tais-toi et comble mes peines.

Oublie, le reste du monde,

Imagine moi encore plus près de toi.

Ne cesses plus jamais,

Et rattrapes le temps perdu.

As-tu la saveur de l'amour ou ta peau est-elle l'incarnation même du bonheur ?

Ne me réponds pas, je me pose trop de questions... Je réfléchis trop parfois...

Tu es le seul qui possède le pouvoir de m'engourdir la tête par ta présence.

Obnubilée par mon désir, je ne pense alors plus qu'à toi.

Isolant ma raison, j'exprime ma déraison.

N'oublie pas que, toi seul, peut faire chavirer mon horizon,

Et que je suis convaincue que tu seras mon sauveur... 

 

 

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité